Răspuns:
Après avoir sorti du jardin, j’ai regardé à gauche et j’ai vu le grand cerisier dont ses fleurs commençaient à tomber une à une, toujours seules dans leur chute.
Il y avait un brouillard épais qui flottait comme un esprit froid parmi les maisons et les arbres.
J’ai essayé d’ouvrir la porte, mais elle était fermée à clé. J’ai entendu une porte s’ouvrir et je me suis accroupi derrière une table posée à côté de la clôture.
Vera laissa ses pantoufles et son sac à main à côté du seuil, et ensuite regarda loin vers le chemin et elle se retourna en fermant la porte.
Je me sui levé et j’ai passé ma main droite à travers la clôture. Tel que j’imaginais, la clé était introduite dans la serrure par l’intérieur.
Je l’ai tordu comme tu tord le cou d’un poussin qui sort juste de son oeuf.
J’ai ouvert la porte en métal qui grinçait un peu.
J’ai marché dans l’allée qui partageait le jardin en deux. J’ai regardé par la fenêtre de la maison de gauche et j’ai vu Jeanne arranger sa coiffure devant un miroir, avec ses délicats mains derrière le cou, les pieds légèrement écartés et sa taille mince qui priait crier le nom comme un démon indomptable.
Je suis entré dans la cuisine d’été et j’ai regardé le grand couteau posé sur la table, sa pointe dirigé vers la porte, vers moi, comme s’il m’attendait.
J’ai attrapé la poignée bleu avec mes mains et je me sui dirigé vers la porte de Jeanne. Je l’ai ouverte sans aucun effort et ensuite j’ai vu Jeanne dans sa chambre à coucher.
Elle a prononcé mon nom tel que l’on prononce le titre d’un poème et ensuite elle a balayé son intelligent regard de mes yeux vers la poitrine en passant par la ligne de l’épaulent demandant vers Le Bras jusqu’au couteau. C’est là qu’elle a compris. Elle a essayé de fermer la porte mais je l’ai bloqué avec le pied et je l’ai poussé de toute ma force . Elle a couru vers la fenêtre et a essayé de crier mais je lui boucher la bouche avec la main et je me suis collé le corps contre son dos
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